Briqueterie de Hem (Suite)

Dans les années 1980, à Hem, c’est le fils du fondateur Mr Delfosse qui dirige l’usine. Le produit est toujours fabriqué à l’ancienne, afin de lui assurer une qualité maximale permettant à cette entreprise de continuer à fonctionner. L’argile et la glaise sont extraites de carrières creusées dans les terrains environnant l’usine à l’aide d’excavatrices puis transportées par locotracteurs sur 6 kms de voie ferrée. Les carrières sont rebouchées au fur et à mesure avec des ordures ménagères.

Une excavatrice en fonctionnement en 1980 (Document Nord-Eclair)

Puis dans des doseurs on ajoute un peu de schiste à la terre pour éviter les fissures avant de passer le mélange dans une machine dont la fonction consiste à enlever les résidus métalliques et les cailloux. Puis il est broyé et fortement humidifié dans une sorte d’énorme pétrin. Après mise en forme le pain rectangulaire d’un mètre environ est découpé en tranches ou briques.

Les placeurs entreposent alors les briques dans les séchoirs et forment des murs de 200.000 unités tout en veillant à laisser des intervalles entre les briques pour permettre une meilleure circulation de l’air. Une fois sèches, soit au bout de 15 jours par beau temps et plus d’un mois en cas d’intempéries prolongées, les briques sont retirées des hangars pour être cuites au four.

Les séchoirs (Document Nord-Eclair)
Le four (Document Nord-Eclair)

Le four est maintenant un bâtiment de 2 étages de 80 mètres de long. Les briques sont entassées au niveau inférieur dans un compartiment dont le plafond est percé de plusieurs trous. Le charbon est introduit régulièrement par le haut et les briques sont cuites à une température de 1000 degrés.

Le travail à l’intérieur du four après la cuisson (Document Nord-Eclair)

L’industrie de la brique est une activité saisonnière dans la mesure où l’on ne peut fabriquer les briques que pendant 6 mois puisqu’il serait impossible de les faire sécher naturellement en hiver. Mais le four tourne toute l’année sur les réserves faites à la bonne saison. On ne l’éteint qu’une fois par an pour les indispensables réparations. 38 personnes sont donc employées pour la fabrication et la cuisson pendant 6 mois mais seulement 20 à 22 l’hiver. Les saisonniers sont alors essentiellement portugais et nord-africains.

Malgré la mécanisation intervenue améliorant les conditions de travail par rapport au début du siècle, le travail en briqueterie est toujours pénible : la poussière à la fabrication, la chaleur dans le four et le poids des briques rendent le métier difficile et les ouvriers sont payés au rendement.

Photos aériennes de 1992 et 1999 (Documents Historihem)

Pendant 20 ans encore la briqueterie de Hem continue à fonctionner avec plus ou moins de difficultés mais elle ne parvient pas à fêter son centenaire. Les réalités économiques finissent par la rattraper et à l’aube du 21ème siècle sa démolition est inéluctable, d’autant que la production a dû cesser en 1999, faute d’argile.

La vingtaine de salariés restants a dû être licenciée et les grues et marteaux piqueurs sont entrés en action pour raser les bâtiments. Le plus gros morceau du chantier s’est avéré être le vieux blockhaus en béton armé datant de la guerre et sur lequel une grue piqueuse s’est cassé les dents. Les stocks de briques restant en ce début d’année 2000 s’écoulent lentement et près d’un million et demi d’entre elles sont encore en vente.

Le blockhaus en cours de démolition et les palettes de briques à vendre (Documents Historihem)

En 25 ans le paysage de la rue du Calvaire s’est considérablement modifié comme en témoignent ces 2 photos aériennes prises l’une en 1975 à un moment où la briqueterie est encore en pic d’activité, produisant 25.000 briques par jour et celle de 2000 où la démolition est terminée.

Vues aériennes du 187 rue du Calvaire en 1975 et 2000 (Documents IGN)

Actuellement reste, au milieu des nouvelles entreprises implantées dans la zone d’activité des 4 Vents, au 187 rue du Calvaire, le siège social de la société anonyme Briqueteries de l’Entreprise Roubaix et environs, créée en 1957. Bernard Delfosse en est le président et l’activité, d’après le site société.com, est la fabrication de briques, tuiles et produits de construction, en terre cuite. Sur place on constate encore à ce jour la présence d’une boîte à lettres au nom de l’entreprise.

Les boîtes aux lettres du 187 rue du Calvaire (Document photo IT)

A la même adresse se situe également la société anonyme Vermeulen Matériaux, spécialisée dans le secteur d’activité du commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction. Un panneau au nom de cette entreprise est apposé à la grille donnant accès au site.

Vue du site et du panneau apposé sur la grille (Document photo IT)
Vue aérienne du 187 rue du Calvaire en 2022 (Document Google Maps)

Remerciements à l’association Historihem ainsi qu’à André Camion et Jacquy Delaporte pour leur ouvrage Hem d’hier et d’aujourd’hui.

Briqueterie de Hem

Dans le quartier du Rivage à Hem, au 17ème siècle un chemin menant au hameau du Petit Voisinage bifurque ensuite vers Sailly et Willems. En 1931, ce chemin est devenu la rue du Calvaire et doit son nom à une petite chapelle calvaire située à son extrémité, avant la ville de Sailly-lez-Lannoy.

De son vrai nom « Briqueterie de l’Entreprise de Roubaix et ses environs », la briqueterie « dite d’Hem », Comptoir Régional de la Terre Cuite, s’implante au 187 rue du Calvaire au lieu dit «  Au-Dessus du Petit-Voisinage » en 1930, suite à une demande de construction faite en 1929 par Mrs Degallay et Delfosse. On la voit clairement sur une photo aérienne de 1933.

Photo panoramique de 1933 (Document IGN)

L’entreprise utilise une terre ocre, particulière à la région : le limousin argileux des Flandres. Elle est constituée d’un atelier de fabrication, d’une aire de séchage, d’un logement d’ouvriers, d’un bureau d’entreprise, d’une cour, d’une voie ferrée, d’une cheminée d’usine en briques portant son année de construction, 1930, et d’une pièce de stockage du combustible.

Elle n’apparait cependant en tant que Briqueterie de l’Entreprise de Roubaix et ses environs dans l’annuaire qu’après la seconde guerre mondiale. On constate mieux l’importance de l’entreprise en terme de surface dans la rue du Calvaire sur une photo aérienne de 1962.

Photo panoramique de 1962 (Document IGN)

L’entreprise est construite en briques avec une charpente pour partie en bois couvert en ciment amiante en ce qui concerne les séchoirs et pour partie métallique en ce qui concerne l’atelier de fabrication recouvert d’un toit à longs pans couvert en ciment amiante. Le logement d’ouvriers comporte quant à lui un étage carré avec sous-sol couvert d’un toit à longs pans brisés, recouvert de tuiles flamandes.

La briqueterie vue de la zone des 4 Vents et les logements des ouvriers (Documents Historihem)

L’usine fabrique des briquettes de parement, produits creux, et des briques pleines ordinaires et rustiques dont la cuisson se fait au charbon dans un four Hoffmann. Sa production journalière d’avril à septembre se monte de 30 000 à 35 000 briques. La briqueterie emploie de 27 à 37 saisonniers, à l’origine belges puis italiens.

Antonio, l’un des saisonniers italiens employés par la briqueterie, à droite sur la photo (Documents Historihem)

Dans  les années 1920-1930 l’extraction ne se fait plus de façon manuelle mais à l’aide de pelleteuses. La terre est ensuite acheminée à l’usine par wagonnets sur rails ou par camions. Ce travail a lieu toute l’année pour alimenter l’usine en continu.

Elle est ensuite convoyée par un tapis roulant jusqu’aux broyeurs à meules verticales qui la broient et la malaxent avec de l’eau puis elle est transformée en pâte. Celle-ci est ensuite moulée puis propulsée en continu au travers d’une filière qui lui donne la forme désirée. Ce ruban d’argile est tronçonné à la longueur voulue par le fil d’acier d’un découpeur.

Le séchage s’effectue le plus souvent dans un séchoir tunnel, dans lequel les produits, empilés sur des wagonnets, sont balayés par un courant d’air chaud, de l’ordre de 120° C., récupéré du four. Le four Hoffmann, inventé en 1858, est un four à cuisson continue et à foyer mobile (le feu se déplace dans des chambres de cuisson), chauffé au charbon, de plan circulaire à l’origine.

L’intérieur d’un four à briques et les rails des wagonnets (Documents Historihem)

Lors de la seconde guerre mondiale, une ligne défensive, la ligne Maginot, consistant en fortifications commencées en 1927 et achevée en 1936, est sensée arrêter les troupes allemandes. A Hem, les troupes britanniques font des travaux de défense militaire sur les terrains de culture exploités par le fermier Callewaert autour de sa ferme sise 234 rue de la Vallée.

Ses terres sont alors entièrement sillonnées de tranchées et boyaux de 5 mètres de profondeur. La terre de ces ouvrages est rejetée sur les bords et des parapets en sacs de terre sont établis. La prairie garnie de réseaux de barbelés est inaccessible aux bestiaux.

Ces ouvrages et la résistance acharnée des troupes britanniques ne suffisent pourtant pas à arrêter l’ennemi et l’occupation de Hem commence. Une quinzaine de militaires allemands ont cependant trouvé la mort derrière la briqueterie et leurs corps sont transférés au cimetière d’Haubourdin.

Photo prise du château d’eau situé rue de la vallée vers les tranchées et le blockhauss (Document Historihem)

Après-guerre, bien que dans le Nord la brique soit le matériau de construction privilégié, l’urgence de la reconstruction oblige les entreprises à utiliser des parpaings et ce n’est que nombre d’années plus tard que, par souci d’esthétisme et de solidité, les bâtisseurs reviennent à la brique. Pourtant la Briqueterie d’Hem tient bon.

Remerciements à l’association Historihem ainsi qu’à André Camion et Jacquy Delaporte pour leur ouvrage Hem d’hier et d’aujourd’hui.

A suivre…

Le jardin des perspectives

Comme le montre une photo aérienne de 1969, à cette époque la rue du Docteur Coubronne, en « centre ville » comporte encore de nombreux terrains agricoles. Et c’est encore le cas, bien que de façon moindre, en 1981.

Photos aériennes de 1969 et 1981 (Documents IGN)

Instantané de mémoire : «Quand je m’installe à Hem, rue du Docteur Coubronne en 1986, presqu’en face de la rue du cimetière, bordée d’arbres, je suis séduite par la situation de ma maison, à la fois face aux champs et toute proche des commerces essentiels de proximité, tous situés dans un rayon d’un kilomètre».

Photo de vaches en pâture rue Coubronne et de la rue du Cimetière bordée d’arbres (Documents archives Historihem et Ville de Hem)

« A l’époque il n’est pas rare de voir les vaches qui reviennent de la pâture dans les prés bordant la rue du cimetière revenir par la rangée Deldalle vers la ferme Lefranc-Delecroix sise 45 rue Jules Guesde et traverser cette rue, pourtant très fréquentée, en faisant stopper la circulation automobile pour rentrer à la ferme ! »

Photos de vaches traversant la rue Jules Guesde et de leur ferme (Documents archives Historihem et Google Maps )
Extrait d’un plan de Hem de 1979 (Collection privée)

Dès 2009, la municipalité décide de créer le jardin des perspectives, au « nouveau cœur de ville », sur 5 hectares entre la rue de la Vallée et la rue du Docteur Coubronne , entre les constructions de « la Vallée 2 ».

Le parc est prévu comme suit : en partie haute, esprit campagne avec des prés, des jardins en lignes parallèles de divers végétaux, puis une placette minérale, une plaine engazonnée et un jardin des dynamiques qui doit déboucher sur une place publique.

Photos des travaux de la Vallée 2 et du futur jardin en 2009 (Document Tout’Hem)

L’objectif est de relier les anciens et nouveaux quartiers autour d’un espace central fédérateur offrant 2 km de chemins de promenade. Le jardin des perspectives est officiellement ouvert en Octobre 2010.

Plantation du tilleul et inauguration du jardin en 2010 (Documents Tout’Hem)

La place publique, décorée de jets d’eau, est vouée à accueillir le marché de Hem, trop à l’étroit Place de la République, ainsi que diverses manifestations telles que fêtes foraines, marché de Noël, patinoire, etc

Jets d’eau sur la place en 2011 (Documents Tout’Hem)
Marché et marché de Noël (Document collection privée)

En 2013, la municipalité décide de planter un arboretum composé d’une centaine d’espèces rares dans ce jardin appelé à constituer le poumon vert de la ville. Une petite plaque apposée devant chaque arbre doit permettre aux hémois d’apprendre à les connaître. Le 1er d’entre eux reste le tilleul planté en 2010 au moment de l’ouverture du jardin des perspectives au public.

Un espace de jeux est mis en place pour les petits et un labyrinthe diversifiant les couleurs et senteurs est prévu en dessous de la vigne déjà plantée, un dédale de chemins qui mèneront le visiteur dans 17 espaces différents aux noms poétiques lui permettant ainsi de découvrir la biodiversité.

La vigne (Documents Tout’Hem)
Arboretum et labyrinthe en 2013(Documents Tout’Hem)

Dans les années suivantes le jardin s’enrichit d’espaces particuliers supplémentaires : fauchage raisonné, espace canin. L’aire de jeux pour enfants est rénovée en 2018. Enfin des œuvres d’art sont installées ajoutant un intérêt culturel supplémentaire à ce terrain verdoyant.

Fauchage raisonné, espace canin (Documents Facebook)
Aire de jeux 2018 (Document Facebook)
Oeuvres d’art (Documents Facebook)

La photographie aérienne de 2020 permet de constater que le nouveau cœur de ville entre les rues du Cimetière, de la Vallée, Jules Guesde et du Docteur Coubronne est en effet bien verdoyant.

Toutefois c’est avec regret que nombre d’anciens habitants du quartier ont vu disparaître la rangée d’arbres centenaires qui bordait et ombrageait la rue du Cimetière (rebaptisée depuis peu rue du 6 Juin 1944). L’ancienne rue bucolique et champêtre où il faisait bon flâner s’est ainsi transformée en une rue plus ordinaire bordée d’habitations, même si le jardin qu’elle longe est bien agréable.

Photo aérienne de 2020 (Document Google Maps)

Remerciements à Historihem ainsi qu’à la ville de Hem

Ancolie et le Jardin d’Ancolie

La Place de la République, autrefois appelée Place Verte, au centre du village de Hem, a toujours été très commerçante et le numéro 4 de la Place a abrité des commerces variés. Au début des années 50, c’est une épicerie qui s’y trouve, gérée successivement par les couples Berton-Ducatillon puis Bazin-Mory.

Photo des numéros 4 à 6 Place de la République durant les années 1950 (Document collection privée)

A la fin des années 60 c’est Mme Despret qui s’y installe ; elle est alors répertoriée dans le Ravet-Anceau à la fois dans les catégories légumes et poissonnerie. Puis le commerce devient : Desprets fruits et primeurs dans les années 1970 et pendant près de 30 ans.

Photo de la place dans les années 1980 (Document Hem 1000 ans d’histoire)

Instantané de mémoire: « Lorsque je m’installe à Hem, fin 1986, à deux pas de la Place de la République, pas d’hésitation à avoir, pour les fruits et légumes, je passe chaque semaine chez Desprets. Quelque soit l’heure où je choisis d’y aller je dois faire la queue car le magasin ne désemplit pas. Tout le monde y va ; c’est une institution du centre ville ».

Le journal Nord Eclair publie régulièrement des publicités et lui consacre même un encart publicitaire avec photo en 1979. Par ailleurs les Ets Desprets font leur publicité dans différentes parutions notamment publiées par la municipalité hémoise.

Publicités classiques et encart publicitaire avec photo (Documents Nord-Eclair)
Publicités insérées dans différentes parutions (Documents Historihem)

En Mai 2004, c’est un tout jeune fleuriste : Nicolas Pomart, qui reprend l’ancienne boutique de fruits et primeurs pour y installer son commerce de fleurs à l’enseigne : « Ancolie ». Au fil des ans et de l’évolution de sa fibre artistique, Nicolas Pomart fait évoluer la devanture de son commerce ainsi que l’aménagement intérieur de celui-ci et cherche toujours à y proposer des nouveautés.

Photos de la devanture du commerce en 2008, 2013, 2016 et 2018 (Documents Google Maps)

Photos de l’intérieur du magasin en 2022 (Documents Facebook Ancolie)

Il y a déjà plusieurs fleuristes à Hem, dont Jean-Michel Clarisse, installé 208 rue Jules Guesde depuis 1979, au moment de l’ouverture d’Ancolie à Hem Centre. Ce fleuriste qui fait partie de l’Union des Commerçants Hem J’aime et qui propose les services de livraison Interflora a une très bonne renommée dans la ville et fait de la publicité dans le journal Nord-Eclair.

Publicité (Document Nord-Eclair) et photo du magasin dans les années 1980 (Document Historihem)

Instantané de mémoire :« De la même façon que pour les fruits et légumes, en ce qui concerne les fleurs j’ai pour habitude de me tourner vers Jean-Michel Clarisse chez qui mes parents, demeurant rue des Ecoles, ont toujours plaisir à se fournir. C’est ce fleuriste qui décore d’ailleurs la voiture de mon père le jour de mon mariage et me fait mon bouquet de mariée » .

Décoration de la voiture et bouquet pour le mariage (Document collection privée)

Jean-Michel Clarisse et son épouse restent pendant près de 40 ans dans leur joli commerce où, tandis que Jean-Michel compose de magnifiques bouquets dans son atelier, son épouse sert la clientèle avec professionnalisme et une gentillesse exceptionnelle. Leur magasin est très coloré et attirant.

La boutique Clarisse en 2008 et 2016 (Documents Google Maps)

Lorsque le couple cède son commerce pour prendre une retraite bien méritée, Nicolas Pomart le reprend, fort de son expérience à Hem centre et, après quelques travaux d’aménagement, ouvre sa deuxième boutique de fleurs à Hem à l’enseigne : Au jardin d’Ancolie, embauchant au passage 2 personnes expérimentées pour l’assister sur les 2 points de vente.

Publicités pour le nouveau magasin (Document Facebook)

Nicolas Pomart modernise la boutique aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur et lui apporte sa touche personnelle. Il crée également un profil Facebook pour chacun des 2 magasins afin de pouvoir y présenter en temps réel toutes les nouveautés à la fois florales et décoratives qu’il propose à sa clientèle en fonction des saisons.

La boutique vue de l’extérieur en 2018 et 2020 (Documents Google Maps)
Nicolas Pomart dans sa boutique (Document Facebook Jardin d’Ancolie)

Remerciements à Historihem

Ecole De Lattre de Tassigny (Suite)

Instantané de mémoire :« A De Lattre de Tassigny, l’année scolaire est parsemée d’événements pour les enfants, en maternelle : fête du bicentenaire de la révolution française, carnaval, goûter de Noël, comme en primaire : classes vertes, classes de neige, sans compter bien sûr la traditionnelle fête de fin d’année. Les parents d’élèves sont très investis et il se passe toujours quelque chose »

Fête du bicentenaire de la révolution 1989, Carnaval 1993 (Document collection privée)

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Ecole De Lattre de Tassigny

En début d’année 1972, un programme de construction de 430 logements individuels est en cours de réalisation dans le quartier de « La Vallée » et, de ce fait, l’implantation d’un groupe scolaire est indispensable. Celui-ci va être construit rue de la Vallée au bout de la rue du cimetière sur des terrains agricoles comme en témoigne une photo aérienne de 1966.

Photo aérienne de 1966 (document IGN)

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